La caractéristiques la plus visible des dieux tels que les Grecs se les représentaient est l'anthromorphisme : l'apparence physique des dieux, leurs actions et leur sentiments paraissent très proches de ceux des mortels. Hérodote emploie au sujet des dieux l'adjectif paradoxal antropophues, "de nature humaine".
Cependant, cet anthropomorphisme et cette proximité entre les dieux et les hommes n'est qu'apparente : comme le montre entre Françoise Frontisi-Ducroux dans un article du recueil Corps des dieux, la religion grecques ne cesse de mettre en évidence l'écart qui sépare les dieux et les humains. Le corps des dieux est lui même surhumain : lorsqu'ils sont évoqués dans l'épopée, ils ont une taille gigantesque, un poids colossal ou au contraire impossiblement léger. Dans leur corps coule non pas du sang mais de l'ichor, et les blessures ne mettent pas leur vie en péril puisqu'ils sont immortels. Les dieux ne consomment pas la même nourriture que les mortels : le nectar et l'ambroisie sont leur nourriture d'immortalité. Les épopées d'Homère évoque aussi une langue des dieux différente de celle des mortels. Ce caractère surhumain est mis en en valeur les matière précieuses utilisées pour les statues, exemple chyséléphantines.
Cependant, cet anthropomorphisme et cette proximité entre les dieux et les hommes n'est qu'apparente : comme le montre entre Françoise Frontisi-Ducroux dans un article du recueil Corps des dieux, la religion grecques ne cesse de mettre en évidence l'écart qui sépare les dieux et les humains. Le corps des dieux est lui même surhumain : lorsqu'ils sont évoqués dans l'épopée, ils ont une taille gigantesque, un poids colossal ou au contraire impossiblement léger. Dans leur corps coule non pas du sang mais de l'ichor, et les blessures ne mettent pas leur vie en péril puisqu'ils sont immortels. Les dieux ne consomment pas la même nourriture que les mortels : le nectar et l'ambroisie sont leur nourriture d'immortalité. Les épopées d'Homère évoque aussi une langue des dieux différente de celle des mortels. Ce caractère surhumain est mis en en valeur les matière précieuses utilisées pour les statues, exemple chyséléphantines.
Si les dieux en plus fameux, les divinités olympiennes, sont anthropomorphes, sont n'est pas le cas de toutes les divinités : les dieux fleuves grecs sont souvent représentés sous la forme de taureaux, et il existait de nombreuses idolos n'ayant pas l'apparence d'être vivants. L'apparence surhumaine des dieux est la manifestation de leur statut supérieur et de leurs omnipotence : "les dieux peuvent tout".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire