lundi 14 avril 2014
Les Héros
La conception de l'histoire du monde des Grecs anciens plaçait, entre l'apparition de l'humanité et l'époque présente, un âge héroïque où avaient vécu des hommes mortels, mais plus grands,plus forts, et, de façon générale, dotés de qualités supérieures à celles des hommes du présent : c'étaient les héros, issus directement ou indirectement d'unions entre des divinité et des humains. L'âge héroïque était considéré comme ayant réellement existé ; il ne s'étendait pas sur une très longue période, seulement quelques générations, et n'était pas pensé comme très éloigné dans le passé, puisque les héros étaient considérés comme les fondateurs des dynasties royales de nombreuse cité grecque.
Les Caractéristiques Des Dieux Grecs
La caractéristiques la plus visible des dieux tels que les Grecs se les représentaient est l'anthromorphisme : l'apparence physique des dieux, leurs actions et leur sentiments paraissent très proches de ceux des mortels. Hérodote emploie au sujet des dieux l'adjectif paradoxal antropophues, "de nature humaine".
Cependant, cet anthropomorphisme et cette proximité entre les dieux et les hommes n'est qu'apparente : comme le montre entre Françoise Frontisi-Ducroux dans un article du recueil Corps des dieux, la religion grecques ne cesse de mettre en évidence l'écart qui sépare les dieux et les humains. Le corps des dieux est lui même surhumain : lorsqu'ils sont évoqués dans l'épopée, ils ont une taille gigantesque, un poids colossal ou au contraire impossiblement léger. Dans leur corps coule non pas du sang mais de l'ichor, et les blessures ne mettent pas leur vie en péril puisqu'ils sont immortels. Les dieux ne consomment pas la même nourriture que les mortels : le nectar et l'ambroisie sont leur nourriture d'immortalité. Les épopées d'Homère évoque aussi une langue des dieux différente de celle des mortels. Ce caractère surhumain est mis en en valeur les matière précieuses utilisées pour les statues, exemple chyséléphantines.
Cependant, cet anthropomorphisme et cette proximité entre les dieux et les hommes n'est qu'apparente : comme le montre entre Françoise Frontisi-Ducroux dans un article du recueil Corps des dieux, la religion grecques ne cesse de mettre en évidence l'écart qui sépare les dieux et les humains. Le corps des dieux est lui même surhumain : lorsqu'ils sont évoqués dans l'épopée, ils ont une taille gigantesque, un poids colossal ou au contraire impossiblement léger. Dans leur corps coule non pas du sang mais de l'ichor, et les blessures ne mettent pas leur vie en péril puisqu'ils sont immortels. Les dieux ne consomment pas la même nourriture que les mortels : le nectar et l'ambroisie sont leur nourriture d'immortalité. Les épopées d'Homère évoque aussi une langue des dieux différente de celle des mortels. Ce caractère surhumain est mis en en valeur les matière précieuses utilisées pour les statues, exemple chyséléphantines.
Si les dieux en plus fameux, les divinités olympiennes, sont anthropomorphes, sont n'est pas le cas de toutes les divinités : les dieux fleuves grecs sont souvent représentés sous la forme de taureaux, et il existait de nombreuses idolos n'ayant pas l'apparence d'être vivants. L'apparence surhumaine des dieux est la manifestation de leur statut supérieur et de leurs omnipotence : "les dieux peuvent tout".
vendredi 4 avril 2014
Olympe
Les divinités grecques les plus importantes sur l'Olympe. Cette représentation de l'Olympe comme demeure des divinités olympiennes est déjà très présente dans les principale oeuvres poétiques de l'époque archaïque : l'Iliade et l'Odyssée, puis les poèmes d'Hésiode et les Hymnes homériques, œuvres qui influencent durablement la représentation des dieux grecs. L'Olympe où résident les dieux chez Homère et Hésiode est à la fois un lieu réel, le mon Olympe en Grèce du nord, et une demeure céleste située très haut dans le ciel : ces deux représentations, coexistent non sans entraîner quelque hésitations et incohérences de détail, l'essentiel consistant à affirmer une séparation entre cette demeure des dieu et le reste du monde. Mais tous les dieux grecs ne résident pas sur l'Olympe, loin de là : un grand nombre divinité résident sur terre ou dans la mer.
La Mythologie Grecque
C'est Zeus le dieu de la foudre |
grecque et de la mythologie romaine : la première exerce une forte influence sur la seconde, qui ne s'y réduit pas pour autant.
Longtemps après la disparition des religions grecque et romaine, la mythologie grecque est utilisée comme sujet d'inspiration par les artistes, et continue à l'être de nos jours.
C'est Homère |
L'ensemble de ses sources présente des généalogies et des récits qui forment un systèmes doté d'une cohérence limitée. Les mythes grecs témoignent de la représentation que les anciens Grecs se faisaient du monde. Néanmoins, le statut de la mythologie grecques est complexe, car la mythologie dépasse le cadre de la religion.
Les personnages et les événements mythique rapportés par la tradition étaient pour les Grecs, du moins des étaient grandes lignes, des réalités historiques relevant d'un passé lointain, et servaient donc de base de travail aux historiens antiques. Dans le même temps, la mythologie fournit une ample source d'inspiration à la littérature et aux arts grecs.
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